Souvenirs immortels
Louange aux jeunes femmes en fleurs aux pommettes vermeilles
Qui nous donnent les hauts le coeur des manèges de merveilles,
Les enivrantes fragrances de leurs folles crinières,
Leur fermeté de Jouvence, la douceur de leur chair.
Les infâmes manigances aux aubes des veilles,
Toutes les extravagances qui troublent mon sommeil,
Quand elles offrent tous leurs gouffres à l’acier de mon coeur
Et qu’elles forgent les souvenirs qui deviennent mon bonheur.
Ma mémoire est fière des jours endormis
Où je me dis, qu’hier, un sens a pris ma vie
Dans les images de mon glaive et leur visages avides
Que je revivrai en rêve, les nuits de solitude.
Le plus beau des trésors étreint entre mes bras :
Je le serrai contre mon corps si fort qu’il se cabra ;
Une tempête de napalm perdue entre deux draps,
Envolée dès qu’elle se calme, jamais ne reviendra.
Qui nous donnent les hauts le coeur des manèges de merveilles,
Les enivrantes fragrances de leurs folles crinières,
Leur fermeté de Jouvence, la douceur de leur chair.
Les infâmes manigances aux aubes des veilles,
Toutes les extravagances qui troublent mon sommeil,
Quand elles offrent tous leurs gouffres à l’acier de mon coeur
Et qu’elles forgent les souvenirs qui deviennent mon bonheur.
Ma mémoire est fière des jours endormis
Où je me dis, qu’hier, un sens a pris ma vie
Dans les images de mon glaive et leur visages avides
Que je revivrai en rêve, les nuits de solitude.
Le plus beau des trésors étreint entre mes bras :
Je le serrai contre mon corps si fort qu’il se cabra ;
Une tempête de napalm perdue entre deux draps,
Envolée dès qu’elle se calme, jamais ne reviendra.